DMLA

Moins de travaux de recherche, davantage de pratique. Tel semblait être le mot d’ordre de l’édition 2007 du congrès de l’ARIBa qui a séduit ses participants… au point de faire résister une salle plus que comble aux attraits de Saint-Malo, de ses remparts et de sa plage ensoleillée.

AAO – Retina : a view to the future

Du 8 au 12 novembre 2007, retour à la Nouvelle Orléans : l’AAO, American academy of ophtalmology, y a tenu son premier congrès depuis les inondations de 2005. Plus de 20 000 ophtalmologistes du monde entier ont fait le déplacement pour assister, dans une parfaite organisation, à des conférences de très haut niveau.

Une cellule immunitaire au coeur des patho-mécanismes de la DMLA

Début octobre, deux équipes de l’Inserm ont publié un article démontrant l’implication d’un acteur jusqu’alors inconnu dans la pathogénie de la DMLA : la cellule microgliale. Une découverte qui pourrait bien ouvrir de nouvelles possibilités de thérapeutique anti-angiogénique et neuroprotectrice pour la principale maladie cécitante en France.

Silmo 2007 : le crû anniversaire

Les mouvements de grève, malheureusement concomitant à la quarantième édition du Silmo, auront parfois gêné l’acheminement des congressistes… et de certains produits d’exposition. Pour autant, la basse vision était bien là, avec son annuel lot de nouveautés, et surtout, pour cette année, de nouvelles versions et améliorations.

DMLA : quand le geste se fait moins précis

Catherine Dauxerre Les patients atteints de DMLA présentent-ils une imprécision du geste plus importante que des sujets sains d’âge apparié au cours d’une tâche de pointage ? Existe-t-il une corrélation entre le déficit observé lors de la tâche et la zone rétinienne extrafovéale utilisée ? Quelles sont les conséquences d’un entraînement oculo-moteur ? Autant de questions auxquelles répond une étude de faisabilité menée par Catherine Dauxerre (Hôpital des XV-XX, Paris, EPHE), avec les patients du Dr Françoise Koenig-Supiot (Lyon) et sous la direction de François Vital-Durand (EPHE et Inserm, cerveau et Vision, U371).

DMLA : l’impact psychologique mesuré

Difficulté à effectuer les activités de la vie quotidienne, à supporter sa dépendance, solitude, détresse voire pulsions suicidaires : une étude européenne a mesuré le mal-être des personnes atteintes par la forme humide de la dégénérescence maculaire liée à l’âge.

Antioxydants et omega-3 : bons pour les yeux mais aussi pour le cerveau

La prévalence des maladies dégénératives augmente avec l’espérance de vie, tandis que les performances cognitives diminuent naturellement avec l’âge. A l’origine de ces deux tendances, un mécanisme commun : le stress oxydatif qui accélère le vieillissement. Du fait des difficultés de prise en charge des pathologies liées à l’âge, mieux vaut profiter de l’effet protecteur des molécules antioxydantes, contre le vieillissement oculaire, mais aussi cérébral. Car plus la santé mentale du patient sera conservée, plus ce dernier sera à même de prendre soin de ses yeux.

La cure thermale

Prescription d’une cure

C’est une décision concertée entre la famille et le médecin traitant de l’enfant, généraliste ou spécialiste, soit pour compléter une thérapeutique en cours, soit pour prévenir le passage à la chronicité ou l’apparition d’une autre pathologie.

Suite à la suspension de la formalité de l’accord préalable, pendant deux ans, le patient doit se procurer un « questionnaire de prise en charge » remis par sa caisse d’affiliation. Il en remplit la partie administrative, en joignant une déclaration de ressources.

Il doit remplir le « questionnaire de prise en charge » au moins vingt et un jours avant la date prévue pour le départ du curiste, en précisant :

– la station thermale choisie
– l’orientation thérapeutique retenue
– éventuellement un traitement annexe simultané dans l’une des autres orientations de la station
– l’absence de contre-indications
– dans certains cas, la nécessité d’une hospitalisation (maison d’enfants).

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Les eaux thermales

Aux termes de la législation française, l’eau minérale est définie comme étant une eau de source naturelle, douée de propriétés thérapeutiques.

L’eau minérale représente un milieu complexe en équilibre instable et de composition constante à la sortie du griffon. De ce fait, l’eau minérale ne doit subir aucun traitement et être obligatoirement utilisée dans l’état même où elle jaillit de la source.

Les eaux minérales sont soumises à une réglementation très stricte concernant la protection sanitaire de la source, son captage, la conservation et le contrôle des eaux depuis leur émergence jusqu’au lieu de leur utilisation.

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